Rue principale de Bitola |
En effet, les routes en lacets permettent une progression en paliers, où les zones dures alternent avec des zones planes où l'on peut se reposer. Pour les routes modernes, c'est une pente plus faible mais constante que l'on doit grimper et au final, on a l'impression de plus se fatiguer et de ne jamais pouvoir se reposer (sauf à mettre pied à terre, bien sûr !).
Nous passons le col de Resen dans ces conditions. Au sommet, encore une route barrée pour cause de travaux. Comme il n'y a personne de la DDE macédonienne, on se décide à prendre la route principale sans suivre la déviation. Un bonheur de descendre ce col avec une route rien que pour nous. Vu la place, on se permet des pointes de vitesse (Dur atteindra le 70), juste tempérées par les fameux travaux : la remise en place d'une canalisation d’évacuation des eaux.
Nous passerons le col de Leskoec de la même façon et profitons également d'un bonne descente avant d'arriver à Ohrid. Avec le recul, dommage que nous n'ayons pas choisi de passer par Peshtani et le Parc national de Galitchitsa. C'aurait été un paysage de toute beauté
Vue sur le lac d'Ohrid |
Nous déjeunons puis siestons à Ohrid. La chaleur étant encore trop forte, nous n’avons aucune envie de reprendre le vélo et nous visitons la ville. Bien que très touristique, la vieille ville est bien protégée et nous marchons dans des rues à flanc de collines. A voir également le vieux château du tsar Samuel de Bulgarie.
La forteresse d'Ohrid |
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