Comme à chaque fois, on essaie de trouver les vols les moins chers possibles. Pour Bucarest, on repasse par la Blue Air car les lignes classiques sont trop chères (450 € un Paris Bucarest avec Air France). Seulement, la liaison avec Lyon n'existe plus. C'est pour ça que nous partons de Bruxelles cette fois-ci, le prix du vol pour Bucarest étant acceptable. Bien entendu, on remet les vélos en soute dans leurs sacoches.
Voyage sans histoire et nous atterrissons à Banaesa. A noter que l’aéroport n'est pas des mieux équipés pour recevoir les touristes. L'aire de douane est sous-équipée, quant à la réception des bagages, c'est une petite pièce avec un tapis de 4 mètres de long. On s'est donc retrouvé à une centaine à s'entasser devant ce pauvre tapis roulant pour récupérer nos bagages. Long et gavant ! Au moins, on nous ramène les vélos à part.
On remonte les vélos dans le parc de l'aéroport : le matériel n'a pas souffert du voyage et c'est déjà une bonne nouvelle.
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Et c'est reparti pour une séance remontage |
Nos premiers kilomètres sont pour rejoindre notre auberge à Bucarest (réservée à l'avance sur Internet).
Comme ça s'est bien passé un an plus tôt, pas de raison de craindre la circulation automobile.
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Premiers tours de roue... Qu'est ce qui nous attend ? |
Rien n'a changé, évidemment. Nous profitons des pistes cyclables des grandes avenues, et nous arrivons facilement à notre auberge. Seul interrogation : la chaleur qui est forte, et qui rend le pédalage pénible...
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L'avenue Kiseleff |
On se permet un peu de tourisme et quelques bars à Bucarest, avant de se rentrer tôt. Dès le lendemain matin, nous avons un train à prendre.