vendredi 31 juillet 2009

Paris - Cracovie

Retrouvailles générales à l'aéroport de Cracovie pour une nouvelle virée. du fait de contraintes horaires, chacun a du se débrouiller de son coté, mais encore une fois les vols se sont passés sans soucis. Que ce soit par EasyJet, Brussel Airlines ou la LOT, nos vélos ont été pris sans problème, toujours emballés dans leurs sacoches.

Ces sacoches vélos, c'est vrai que c'est une contrainte de les transporter durant toute la rando (2 kg quand même), mais c'est quand même une sacrée facilité de rangement.

Rien de tel qu'un bon échauffement
A la sortie de l'aéroport, nous sommes finalement pris un charge par un taxi-van qui transporte nos emballages vélos sans difficulté et nous dépose en gare de Cracovie, pas loin du centre ville (pratique pour les courses) et de notre hôtel (on retourne au "Lénine" de l'année précédente).

La sacro-sainte épreuve du remontage des vélos
Avec la satisfaction de ne constater aucune casse, les vélos sont remontés. On achète nos affaires du quotidien à Cracovie également (affaires de toilettes et ravitaillement) car c'est inutile de les ramener de France.

Nous sommes prêts à partir.

lundi 20 juillet 2009

Carpates 2009

Nouvelle rando donc, avec notre idée bien établie de repartir de l'endroit de notre arrivée précédente. Cette fois-ci, nous sommes décidés à rouler dans des régions montagneuses : ça tombe bien, les Carpates sont là dès la sortie de Cracovie.

L'objectif est donc de rejoindre la Roumanie et Bucarest (pour reprendre un avion facilement) en suivant l'arc carpatique. Plus de mer mais de plus forts dénivelés nous attendent.

Au départ, nous ne sommes plus que 3. Nico n'est plus intéressé et PdB ne peut pas venir. En terme d'organisation, on se simplifie également les choses. Plus du tout de matériel spécialisé... plus de matériel de camping non plus. Vieillissement ou plus d'aisance ? Mais vu les prix des hôtels pour 3 et les prestations offertes, pourquoi s'embêter à trimballer et monter une tente ? En fait, comme on appréhendait la montagne, on a préféré s'alléger le plus possible.

En résumé, notre rando ne ressemble plus guère à l'expédition de notre première année, et tient plus de la ballade vacancière : c'est ce qu'on appelle l'expérience.

On a quand même tous fait l'acquisition de sacoches plus solides que nos premiers prix Décathlon des premières randos. Elles ont pas mal souffert les premières années et il ne fallait pas qu'elles nous lâchent lors de descentes sur les routes difficiles de Roumanie.