Nous poursuivons notre avancée en Mazurie, le but étant de rejoindre Gdansk pour la fin de semaine. Objectif encore faisable malgré le retard. Ce n'est pas le relief qui pouvait nous ralentir...
Le relief ? non ! Mais il était dit que notre poisse technique ne devait pas nous quitter...
Au bout de 15 kms : premier arrêt et une crevaison pour Nico... Forcément, avec des pneus usés jusqu'à la corde...
Et une crevaison...
Nous nous marrons bien sur l'état du matériel de Nico et nous repartons... pour une nouvelle crevaison 5 kms plus loin. Cette fois-ci, c'est PdB qui en est victime. Pourtant, et il en était fier, il possédait des pneus anti-crevaison avec liquide colmateur de trous. Effectivement, cela marche pour les trous causés par des clous et autres verres... mais c'est totalement inefficace contre les déchirures de chambres à air de plus de 10 cm. Le plus drôle survint quand PdB voulut changer sa chambre à air et se rendit compte qu'elle n'était pas à la taille de la roue (trop petite) : parcours stoppé.
Et de deux
(Pour info, le bunker de Bakalarzewo est un reste des fortifications entre l'ancienne Prusse allemande et la Pologne.)
On ne pouvait rester en rade en pleine campagne. La décision fut prise de rouler à 4 jusqu'à la ville suivante (Olecko), dénicher un autre magasin de vélo, et revenir en taxi pour chercher PdB. Nous repartons assez vite, mais 5 kms plus loin : Arrêt crevaison. Cette fois-ci, c'est les pneus de Dur qui n'ont pas supporté le poids des sacoches et qui ont laché à force d'être pincés sur la jante.

On ne pouvait rester en rade en pleine campagne. La décision fut prise de rouler à 4 jusqu'à la ville suivante (Olecko), dénicher un autre magasin de vélo, et revenir en taxi pour chercher PdB. Nous repartons assez vite, mais 5 kms plus loin : Arrêt crevaison. Cette fois-ci, c'est les pneus de Dur qui n'ont pas supporté le poids des sacoches et qui ont laché à force d'être pincés sur la jante.
Et de trois.
Finalement, réparation très rapide à force d'habitude et nous arrivons à Olecko on nous trouvons facilement notre réparateur (à retenir : skłep rowery, prononcé skouep rovéri, le magasin de cycles). Nous avons même la chance qui revient car en sortant du magasin, nous retrouvons PdB qui s'est fait prendre en stop et déposer au pied du magasin. Encore un cyclo amateur (pour une fois à 4 roues) qui donne un coup de main : sympa la solidarité.
Avec ces retards, nous quittons Olecko en milieu d'après-midi et il faut vraiment se forcer pour arriver à Giżycko, ville principalement touristique de par la présence des grands lacs mazures. Heureusement, le soleil revient et la rando est plus agréable. Nous dormons dans un camping du front du lac. Choix peu judicieux car à côté d'une voie ferrée (supportable) et d'une boite de nuit qui nous fit apprécier la techno polonaise (beaucoup moins supportable...).
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