L'aéroport de Vilnius est proche de la ville et est facilement accessible. Depuis notre passage, une navette ferroviaire s'est mise en place.
Du fait de notre date de retour, il n'y avait pas d'avion direct pour Paris ce jour là. Il fallut prendre un vol à escale à Copenhague. C'est Air Baltic qui assurait le vol : pas de problèmes pour la prise en charge des vélos (emballés dans leurs sacoches), mais du fait de l'escale, nous dûmes payer deux fois la taxe vélo.
C'est l'heure du démontage.
La dernière péripétie (si j'ose dire) fut de voir comment les bagagistes danois traitaient nos bagages. Leur peu de douceur fit que plus jamais on ne regarderait comment nos vélos étaient chargés dans la soute.
Nos craintes se confirmeront à l'arrivée : quelques pièces tordues pour les vélos et de la casse dans nos bagages. Heureusement que c'est la fin.
Nos craintes se confirmeront à l'arrivée : quelques pièces tordues pour les vélos et de la casse dans nos bagages. Heureusement que c'est la fin.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire