Quelques mots néanmoins.
Le centre ville est remarquablement restauré et préservée, trop même, puisque de loin, cela fait "village Playmobil" tant cela est propre. Néanmoins, cheminer dans ces rues à pied ou à vélo est très agréable. Le centre mélange ainsi des influences scandinaves, baroques et russes, le tout enserré dans des fortifications préservées.
Une visite agréable donc, particulièrement les remparts, l'église St Olaf (la plus haute du monde en son temps) et les rues piétonnes.
L'hôtel de ville |
A propos des estoniens
D'une manière générale, l'estonien (tout comme le balte en générale) se révèle froid et distant. Si cela est un peu déconcertant au début, il se révélera bien vite que ce sont des gens ouverts mais qu'il faut bien briser la glace avant de pouvoir discuter. En tout cas, aucune animosité de leur part.
Quand à la langue, inutile de chercher des concordances entre l'estonien et nos langues habituels, on n'y retrouve aucune racine. Heureusement, l'anglais est employé. Par contre, vers l'est du pays, c'est le russe qui prend le pas et quelques notions des langues slaves se révèlent bien utiles. Mais d'une manière générale, les gens sont très compréhensifs et firent tout pour nous aider.
Et puis, si on ne comprend pas la langue, l'estonien est assez inventif pour faire passer les messages.

Déplacement ferroviaire
Comme il était hors de question de rouler pour rouler et pour limiter les risques d'accidents, notamment du à la circulation dans les grandes villes, nous décidâmes de certains parcours en train.
Le premier fut de rallier Rakvere - notre vrai départ - en s'économisant la sortie de Tallinn, toujours délicate à cause de la circulation, ainsi que par la présence d'autoroutes que nous ne pouvons éviter que par des grands détours.
Prendre un train avec vélo et bagages est toujours délicat, car il est difficile de savoir comment les compagnies gèrent ce transport. L'exemple français étant loin d'être rassurant dans ce domaine.
Le réseau Estonien est peu développé, mais propose les quelques lignes permettent de rallier les villes principales du pays (Notre train vers Rakvere filait ensuite vers Narva). Les rames étant petites, inutiles de compter sur un compartiment spécial. heureusement, une partie du wagon est dédiée au stockage des bagages encombrants, et nous pûmes même disposer de crochet pour attacher les vélos. On commande les billets à la gare, quand à la contrôleuse - très compréhensive par rapport au chambard que l'on faisait dans son wagon- elle nous offrit quelques plans du réseau...
Finalement, le seul souci fut la descente du train à Rakvere. Le chauffeur voulait s'en tenir à sa minute d'arrêt, mais descendre 4 vélos et les sacoches s'est révélé plus long que prévu. Heureusement que les autres voyageurs nous ont aidé à tout balancer sur la voie, sinon, c'était un voyage supplémentaire vers la Russie.
Rakvere même est une petite ville dont le principale intérêt est une forteresse teutonique en cours de restauration. Ce fut l'occasion de découvrir comment les estoniens festoyaient, ainsi que de la bière et de la Vodka de bonne composition...
Quand à la langue, inutile de chercher des concordances entre l'estonien et nos langues habituels, on n'y retrouve aucune racine. Heureusement, l'anglais est employé. Par contre, vers l'est du pays, c'est le russe qui prend le pas et quelques notions des langues slaves se révèlent bien utiles. Mais d'une manière générale, les gens sont très compréhensifs et firent tout pour nous aider.
Et puis, si on ne comprend pas la langue, l'estonien est assez inventif pour faire passer les messages.
Déplacement ferroviaire
Comme il était hors de question de rouler pour rouler et pour limiter les risques d'accidents, notamment du à la circulation dans les grandes villes, nous décidâmes de certains parcours en train.
Le premier fut de rallier Rakvere - notre vrai départ - en s'économisant la sortie de Tallinn, toujours délicate à cause de la circulation, ainsi que par la présence d'autoroutes que nous ne pouvons éviter que par des grands détours.
Prendre un train avec vélo et bagages est toujours délicat, car il est difficile de savoir comment les compagnies gèrent ce transport. L'exemple français étant loin d'être rassurant dans ce domaine.
Le réseau Estonien est peu développé, mais propose les quelques lignes permettent de rallier les villes principales du pays (Notre train vers Rakvere filait ensuite vers Narva). Les rames étant petites, inutiles de compter sur un compartiment spécial. heureusement, une partie du wagon est dédiée au stockage des bagages encombrants, et nous pûmes même disposer de crochet pour attacher les vélos. On commande les billets à la gare, quand à la contrôleuse - très compréhensive par rapport au chambard que l'on faisait dans son wagon- elle nous offrit quelques plans du réseau...
Rakvere même est une petite ville dont le principale intérêt est une forteresse teutonique en cours de restauration. Ce fut l'occasion de découvrir comment les estoniens festoyaient, ainsi que de la bière et de la Vodka de bonne composition...
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