Cette première étape consistant juste à rejoindre Mustvee sur le Lac Peïpous, un des plus grands d'Europe (et profiter, si le temps le permet, des plages).
Autant dire que cette étape ne comportait aucune difficulté notable
Hormis le lac, pas de lieux notables à signaler. La campagne estonienne se déroule devant nous, entre ruines Kolkhoziennes et ses champs moissonnées. Nous apprécions également les forets et ces arbres typiques du grand nord Nous remarquons l'omniprésence des cigognes, tant par leur nids (sur n'importe quel poteau, et avoir un nid près de chez soi apporte la chance pour les baltes) que par leur nombre dans de nombreux champs.
La circulation est très calme et nous évitons autant que possible les grands axes.
Le calme des routes estoniennes |
Les routes principales sont en bon état et nous découvrîmes également un réseau secondaire un peu différent. A savoir, des routes ayant un revêtement fait de sable et de cailloux. Outre l'économie, ce mélange est très pratique pour résister aux conditions climatiques hivernales de ces pays (On retrouve le même genre en Scandinavie). En tout cas, c'est très résistant et les voitures circulent sans problèmes. Pour les vélos, c'est une autre paire de manche, car il faut que ces chaussées soient bien damées pour rouler correctement. Ainsi, si ces routes sont acceptables en Estonie et en Lettonie, l'entretien est plus discutable en Lituanie. Quoi qu'il en soit, ces routes sont goudronnées au fur et à mesure, et nous eûmes quelques bonnes surprises par rapport aux indications de nos cartes routières...
Comme cette première étape fut trop simple, la pluie se rappela à notre bon souvenir, et c'est sous des trombes d'eaux que l'on dut rechercher un logement (une chambre d'hôtes), annulant nos espoirs de baignades et de camping.
Mustvee fut une déception en ce sens, car peu d'animation, d'hôtel ou de restaurant pour une ville de bord de lac.
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