vendredi 29 juillet 2011

Paris - Podgorica

Le grand jour est arrivé. Le groupe arrive de manière dispersé, car Trin et moi faisons le vol Paris Podgorica (Direct), tandis que Dur et PdB arriveront le lendemain à Kotor, avec une escale à Belgrade.
Pour nous, nous voyageons sur Air Monténégro qui proposait des allers simples sur le Monténégro à des prix abordables (- de 200 €). Un prix abordables car le Monténégro misant sur le tourisme, les vols sont pris d'assauts par des vacanciers en découverte de cette région.
A Charles de Gaulle, nous avons la bonne surprise de passer nos vélos (emballés, comme il se doit) sans payer la sacro-sainte taxe. 50 € d'économisés, c'est toujours ça. Le responsable du vol nous expliquant même que l'ambassadeur de France au Monténégro est un grand fan de cyclisme est a déjà relié les deux pays à vélo.

Le lac de Shkodër, une des rares parties plates que nous verrons...
A l'aéroport de Podgorica, nous reprenons ce même rituel du remontage des vélos. Pas de casse à signaler, c'est toujours ça.

La routine de l'arrivée.

Les vélos montés, nous nous dirigeons vers Podgorica, où une chambre d’hôte nous attendais.

Encore que la trouver fut plus dure. Peu d'indication d'adresse, nous avons tourné une heure dans la ville pour trouver le lieu. La faute au manque d'affichage des rues. Heureusement la ville n'était pas grande.

Cette ballade nous a au moins confirmé le peu d’intérêt touristique de Podgorica. La ville s'est développée après 1945, lorsqu'elle est devenue la capitale du Monténégro à la place de Cetinje. Cela a amené son lot d'infrastructures communistes, peu portées sur l'esthétisme. A noter que comme dans de nombreuses villes de l'est, le centre devient piétonnier en fin d'après-midi et en soirée.

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