Pour nous, nous voyageons sur Air Monténégro qui proposait des allers simples sur le Monténégro à des prix abordables (- de 200 €). Un prix abordables car le Monténégro misant sur le tourisme, les vols sont pris d'assauts par des vacanciers en découverte de cette région.
A Charles de Gaulle, nous avons la bonne surprise de passer nos vélos (emballés, comme il se doit) sans payer la sacro-sainte taxe. 50 € d'économisés, c'est toujours ça. Le responsable du vol nous expliquant même que l'ambassadeur de France au Monténégro est un grand fan de cyclisme est a déjà relié les deux pays à vélo.
Le lac de Shkodër, une des rares parties plates que nous verrons... |
La routine de l'arrivée. |
Les vélos montés, nous nous dirigeons vers Podgorica, où une chambre d’hôte nous attendais.
Encore que la trouver fut plus dure. Peu d'indication d'adresse, nous avons tourné une heure dans la ville pour trouver le lieu. La faute au manque d'affichage des rues. Heureusement la ville n'était pas grande.
Cette ballade nous a au moins confirmé le peu d’intérêt touristique de Podgorica. La ville s'est développée après 1945, lorsqu'elle est devenue la capitale du Monténégro à la place de Cetinje. Cela a amené son lot d'infrastructures communistes, peu portées sur l'esthétisme. A noter que comme dans de nombreuses villes de l'est, le centre devient piétonnier en fin d'après-midi et en soirée.
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